Translation?

Sunday, 4 August 2013

La fête médiévale à Béziers, Languedoc

Le Temps de Vivre by Georges Moustaki on Grooveshark

Comme c'est maintenant une petite tradition d'aller faire du camping avec Corentin, mon frère adoptif, et sa jolie femme Laura, on a décide d'encore trouver la mer pour remarquer le commencement d'été.
Cette fois, la destination était Béziers, une toute petite ville pas très loin de l'eau avec sa propre tradition annuelle-qui s'appelle 'le festival médiévale'. On a tombé sur le bon week-end, surement. Tout le monde s'était déguisé pour vendre des confitures et du pain, pour faire des spectacles de l'ère, et surtout de jouer les rôles qui sont tout a fait appropriés pour une des villes la plus vielle en Europe.



Les petits groups de la musique qui faisaient les tours dans les rues,
parfois avec une fille qui dansait
Le marché

Les macarons, la matière première de france















Corentin voulait absolument voir l'ours, ce que j'avais pas compris car les zoos sont partout, mais en effet c'était un ours très spécial. Il était apprivoisé, même en faisant les câlins à son maitre. Il fait un peu comme celui-la.

Laura a réussi après
un petit garçon s'est abandoné











On a vu une petite guerre parmi les petits chevaliers, ce qui était tellement drôle comme le 'chief' criait les encouragements 'Non non, pas des morts ici! Levez-vous, allez-hop!' Et finalement, 'Okay, c'est maintenant la fin, vous êtes morts, non, non, pas comme ça, les morts bavent! Les langues sortent la bouche!' On a bien rigolé en regardant.

Touts vivants
Les effets de guerre
Puis on a monté pour voir la vue de toute la ville. Près de la, il y avait une spectacle des anciennes machines de guerre pendant laquelle ils ont demandé s'il y avait un anglais parmi la foule. J'ai timidement levé ma main. Quelle erreur! Il a preuvé que les anglais étaient bizarres car on avaient les accents étranges. Il m'a demandé à dire 'Vive la roi de France!' Et pas de surprise, ma langue anglaise a hésité devant le 'r' français, ce qui provoquait tout le monde à rire. J'ai honteusement rougie.



Les Machines à gauche

Ensuite, on cherchait (heureusement pour moi) la plage. Avant ce w-e, j'avais pas aperçu ce type du torture de vint, mais ça y a été, le sable à la bouche.


Un dîner très sympa en ville suivi, puis encore une spectacle, cette fois fait par des danseurs et des feux d'artifice très émouvants.

En retournant à la plage, on s'est endormi sous la lune après une petite ballade en écoutant les vagues (mon truc préféré), et le lendemain, le petit-dej tout tranquille. C'est ça qui est génial, de profiter d'une plage privé, de la fin d'un jour sublime jusqu'au debut de la prochaine.

Wednesday, 5 June 2013

Il faut vivre bien à Montpellier

Au port by Camille on Grooveshark

En rentrant du Canada, j'ai vite commencé à faire plusieurs siestes par jour et quelques séances de skype de très bonne heure avant de me sentir équilibrée (je veux dire, je me suis lévée à 11h pour encore dormir à 15h, puis j'étais toute prête à 4h, etc). Mais j'étais partie du froid d’Amérique du nord pour encore une fois trouver une misère pluvieuse. Et on pouvait s'y attendre: j'en avais marre. En avril, ce n'était toujours même pas le printemps au sud de France? Il a fallu le chercher. Avec Natacha nous avons suivi la rue pour aller à Montpellier, la dernière ville en France sur ma liste de devoirs (il y en  a d'autres mais je les garde en tant qu'excuse pour revenir).


On a fait une petite recherche de Couchsurfers pour trouver une fille très charmante, elle s'appelait Delphine et venait de Nouvelle-Calédonie, une île à coté de l'Australie. Tout de suite après un petit tour du centre, on était chez ses potes (la plupart venaient des îles françaises) pour un barbeq spontané. Spontané mais tout à fais gourmand, genre à hauteur d'un 3 macarons, sans blagues. Maintenant je sais que le lait du coco et le saumon fumé sont des âmes-soeurs, et que la faim, une fois nourri, se dissipe joyeusement dans la fatigue...n'importe où que je sois.

Marinade à gogo


Le lendemain on s'est réveillé en douceur pour mettre nos maillots et prendre le tram vers la plage. On marchait après 45 mn à peu près pour une belle vue de l'eau.


Et ça y était. On est venu, on a bronzé, on est conquis. Je me suis encore endormie sur la plage pendant que Natacha faisait sa recherche, toute sage. Après s'être doucement réveillée, une ballade du quai au coucher du soleil a été splendide, mais je me suis demandé si je n'avais choisi la bonne pour ma propre ville française...


Et encore on s'est mis à chercher de la nourriture. En rencontrant une amie de Natacha, elle nous a trainé dans une petite crêperie près de la place de la comédie, où j'ai enfin eu le repas que je voulais depuis je suis arrivée dans ce pays 'de la cuisine'.  Une crêpe salée de mon choix- fromage du chèvre, de l'artichaut, et de l'oignon. Ensuite...le paradis. Une crêpe au caramel faite maison avec une boule de glace du café au-dessus. Les deux autres filles me regardaient curieusement lorsque j'ai essayé d'exprimer à quel point c'était bon. Vous devez me croire il n'y a pas de mots. (attention avec ce lien ^^)  Enfin bref.

Place de la Comédie
On a continué un tour de la ville pour souffler les lumières de la nuit et...jouer à des jeux asiatiques des vidéos. C'est pour ça que j'adore voyager dans une sense pas très prévue. On va pour chercher les belles églises mais on termine par être plutôt attiré par les panneaux néons de Mario Kart. On sais jamais, certes.


Pour dimanche j'ai mis le reveil pour que l'on puisse aller au zoo. Foooormidable. Comme il n'y avait pas assez d'oiseaux (mes bébés), j'étais ravie de bien suivre leur collection des singes oscillants et espiègles, et pour Natacha les lions grandioses (mais un peu paresseux en comparison).






























Dans l'après-midi au plein du soleil, on s'est promené encore avec les amis trop gentils de Delphine vers la place de Péyrou et les alentours du centre. J'ai adoré l'influence evidente des Romans, ce qui n'est pas présent également à Toulouse, ayant qu'on était plutôt touché par une présence espagnole.


Le Jardin des Plantes


Ensuite une fin très sucrée en écoutant la musique chantée par notre hôte 'trop timide de le faire en vrai' (bien que je l'ai pas cru). Merci encore à Delphine pour son hospitalité, on a passé certainement un week-end aussi chaleureux que délicieux!

Thursday, 23 May 2013

Niagara, a full panorama

Dido & Enya - by Dido & Enya on Grooveshark
Admitting the one view making the 10 hour flight across the ocean a small price to pay was that of Niagara Falls, we impatiently awaited the last day to finally see nature's masterpiece. What I hadn't known was from how many angles one could see the landscape. Tourist traps or not, we descended down to the boardwalk by the rapids, we were splattered in the 4D film, we took the elevator down to the dripping tunnels to be behind the water, up still again the skylon tower to peer down at the horseshoe-shaped falls, and then my preference--

the boat among the seagulls under the mist.
Later in the day we were even blessed with a rainbow.

The boardwalk by the class 6 rapids
(for those of you who also didn't know that's the most dangerous)
Behind the water. Yup, a little anticlimactic after all
The horseshoe belongs to Canada, Goat Island to the US.
You can see the state of NY (including the little island) to the left.
And after the rain stopped, a rainbow appeared, and God said...
Up in Skylon tower

Before arriving in Canada I had planned a weekend trip down to Buffalo to gorge myself on the authentic buffalo wings, but I was soon convinced by the locals staying in Toronto would be well worth it. Was it ever. Friday night was spent watching the NY Yankees crucify the Toronto Blue Jays (although I felt like I was the only one on the NY side-- after screeching my excitement during the first inning, I soon got anxious wide-eyed glances from either side of me, pleading silence.

Early the next morning I was picked up by the other three professors to explore a more urban view of Niagara: the little town of Niagara-on-the-Lake, and surrounding Canadian wine country. The town was like my little collection of polly-pockets when I was little. Absolutely perfectly aligned, beautifully white picket-fenced, even the Starbucks was charming. We hid in the big hotel to thaw our fingers before heading back to the little fudge shop for more samples.

The one event Niagara-on-the-Lake boasts
is a Shakespearean Festival in the Royal George


Still shivering, we scuttled around the vines among the chickens to hurriedly step into the wine shop and breathe a sigh of relief at the sight of the wine glasses.  I preferred the 'gemstone' wine, however biased. Also picked up some spicy jam. Can't resist anything with jalapenos.

Once again, an enormous thank you to Tim and Christiane, without whom this trip would have been nonexistent, or incredibly dull at best.




And why not... just one more of the falls.